Micar
2018-04-27 08:40:12 UTC
Bonjour
On savait déjà qu'il faut titiller la commande d'iris des objectifs que
l'on n'utilise que très rarement (sinon grippage des pales).
Mais j'ignorais que cette consigne s'appliquait aussi aux boîtiers
reflex délaissés pendant des mois !
Ainsi mon boîtier Pentax KS2 est resté inutilisé pendant sept mois (où
il fut préféré à un bridge Lumix TZ100).
A sa reprise de service c'est la cata : que des clichés très sombres
parce que diaphragmés à fond (f:22 f:16 par exemple) au lieu d'un f:5.6
ou f:8 pourtant prévu.
La raison, un petit électro-aimant où coulisse une came métallique.
Celle-ci se gomme et n'assume plus le diaph prévu (huile séchée ?).
D'après un forum de Pentaxistes c'est une panne déjà connue sur les
modèles K30 et K50. Mais peut-être concerne-t-elle aussi d'autres
marques.
Donc passage par un atelier agréé Pentax (Nikken) et une facture de 143
euros : 5 euros HT pour la pièce et le reste en M.O.
Moralité : il faut titiller régulièrement le matos qui dort. Amen
On savait déjà qu'il faut titiller la commande d'iris des objectifs que
l'on n'utilise que très rarement (sinon grippage des pales).
Mais j'ignorais que cette consigne s'appliquait aussi aux boîtiers
reflex délaissés pendant des mois !
Ainsi mon boîtier Pentax KS2 est resté inutilisé pendant sept mois (où
il fut préféré à un bridge Lumix TZ100).
A sa reprise de service c'est la cata : que des clichés très sombres
parce que diaphragmés à fond (f:22 f:16 par exemple) au lieu d'un f:5.6
ou f:8 pourtant prévu.
La raison, un petit électro-aimant où coulisse une came métallique.
Celle-ci se gomme et n'assume plus le diaph prévu (huile séchée ?).
D'après un forum de Pentaxistes c'est une panne déjà connue sur les
modèles K30 et K50. Mais peut-être concerne-t-elle aussi d'autres
marques.
Donc passage par un atelier agréé Pentax (Nikken) et une facture de 143
euros : 5 euros HT pour la pièce et le reste en M.O.
Moralité : il faut titiller régulièrement le matos qui dort. Amen